Quelqu'un de votre entourage vient de perdre un être cher et vous souhaitez lui faire parvenir quelques mots de soutien qu'il pourra conserver. Une carte de sympathie est toujours à privilégier, peu importe les circonstances. En plus de la délicatesse qu'elle témoigne, elle a l'avantage d'ajouter une touche de couleur aux jours sombres qui entourent un deuil. Il y en a de si belles, ça vaut le détour! Elles sont d'accès facile : on en trouve même dans les supermarchés. Les textes sont variés et certains traduisent bien notre pensée. La personne endeuillée appréciera le geste, d'autant plus si vous avez pris soin d'y ajouter une petite note personnelle.
Ce genre d'attention est une source de soutien sous-estimée. Dans les jours et même les mois qui suivent les funérailles, il est fréquent que le chagrin incite un endeuillé à relire ces mots réconfortants qui vous ont été inspirés. Mais encore faut-il les avoir trouvés !
Combien de fois s'est-on senti démuni devant la souffrance humaine ? Plusieurs en perdent leurs moyens et cherchent désespérément à extirper du fond de leur cœur quelques phrases qui traduisent leur appui. Faute d'inspiration, la plupart opteront pour une formule conventionnelle : « De tout cœur avec vous dans cette triste épreuve. » Dans certaines circonstances, c'est suffisant, et puis c'est toujours mieux qu'une simple signature au bas de la carte. Mais quand l'endeuillé est cher à nos yeux, c'est dommage de ne pas pouvoir offrir quelques mots à la mesure de notre attachement.
Quoi écrire
Lorsque la carte provient de plusieurs personnes, assurez-vous que chacun puisse avoir une petite place pour s’exprimer. C’est beaucoup plus chaleureux de voir les petits mots de chacun, plutôt que : « Toutes nos condoléances. De la famille Guérin ! »
J'ai perdu mon beau-frère Michel le 13 janvier 2016...
Je voudrais apporter du réconfort à ma belle-sœur Carole qui
se reproche beaucoup de ne pas avoir été près de son petit
frère qu'elle adorait.
Étant divorcée, mais comme mon ex et moi sommes demeurés très amis il est décédé et je voudrais écrire mes sympathies à l'occasion du décès de leur père.
J'éprouve une grande tristesse en apprenant le décès de Jacqueline, une bonne copine de travail, une couturière hors pair. Sincères condoléances à la famille.
Perdre sa maman, c'est très difficile et douloureux. Je pleure encore la mienne. Le temps qu'Aurélie m'a consacré lorsque j'étais gamin a complété celui que la mienne -(madame Carcenac) fait du mieux qu'elle a pu. Je ne n'oublierai jamais. Une autre maman nous quitte Les papas sont partis eux bien plus tôt : Pas vrai "Pedro". Je suis très touché. Je serai avec vous, c'est sûr.
Je suis de tout coeur avec vous. Recevez nos plus sincères condoléances. Elle veillera sur vous de là-haut.
J’éprouve une très grande tristesse un grand vide m'envahit ta gentillesse ton rire va nous manquer, mais ne t'inquiète pas je n'oublierais jamais tu as passer des années de ton adolescence avec nous ça tu étais notre grand frère ça restera a jamais dans mon coeur au revoir mon michou on t'aime
je suis de tout cœur avec vous ,recevez nos plus sincères condoléances. Berthe ,Laura ,Aline ,lisette ,Pauline
Elle veillera sur vous de la haut
J’offre mes sympathies à la famille de Mme Adalbert SAINTE-MARIE de La Minerve et beaucoup de courage.
je voudrais souhaiter a la famille mes plus sincère sympathie et courage pour la suite moi et mon conjoint sommes de tout cœur avec vous ont ne t oublieras jamais Guy tu vas briller comme une étoile ont t aiment
Par définition, sympathie ne réfère pas à un sentiment de partage et/ou de tristesse. Il serait beaucoup adéquat de parler de condoléances.
Un robot me demande si je ne suis pas un robot?????
Selon l'Office québécois de la langue française, le mot « sympathie » peut désigner la participation à la douleur d’autrui, notamment à l’occasion d’un décès. Cependant, c'est son emploi au pluriel à la place du nom condoléances qui est déconseillé.
Il y a longtemps mais, je ne t ai jamais oubliée Nicole. Je t offres, du fond du coeur plus sinceres condoléances A toi et a tous les tiens.Rolande
Je voudrais écrire un mot à mon frère pour lui témoigner mon admiration dans cette dure épreuve dans laquelle il a perdu son épouse âgée de 51 ans à la suite d'une dure bataille contre le cancer qui a duré 5 ans. Elle est décédée dimanche. Elle a été tout au long de sa bataille une source d'inspiration, de courage et d'exemple de douceur et d'attention envers ses enfants et les amies.
Robert Lesuise, 1 novembre 2015Je voudrais souligner le beau texte que mon frère a composé et livré comme jamais j'aurais pensé qu'il aurait été capable de le faire. Je veux lui exprimer toute ma reconnaissance et lui dire combien je l'ai trouvé à la hauteur et qu'il doit continuer à vivre en paix avec ses 2 enfants Gérémie et Ève, âgées de 18 et 21 ans.