Mes sympathies France à toi et à ta famille, mes prières vous accompagnent.

Voisin de votre famille à Saint-Roch de Bellecombe pendant 15 mois (été 1971 à automne 1972), alors que j’habitais avec Renée Martial une maison qui a ensuite appartenu à la famille Tremblay, j’ai eu le plaisir de faire la connaissance de votre père qui s’est révélé être une personne d’une grande droiture, attentionné et généreux. Alors dans la très jeune vingtaine, peu habile dans tout ce qui concerne l’entretien d’une maison, j’ai maintes fois bénéficié de l’aide de votre père. Pendant notre court séjour, dont je garde un excellent souvenir, Renée et moi sommes devenus de bons amis de vos parents. Peut-être vous rappelez-vous de Renée, qui a donné des cours de piano à Sylvie et qui vous a gardés à quelques occasions ? À vous quatre, que j’ai connus alors que vous étiez encore enfants, j’offre mes sincères condoléances.